La Muse françaiseGarnier., 1922 |
طبعات أخرى - عرض جميع المقتطفات
عبارات ومصطلحات مألوفة
aimé Albert âme amour André DELACOUR André Lamandé août avril bateau de papier Baudelaire beau beauté belle chansons chant Charles Guérin Charles Le Goffic Charles Maurras charme Chénier Chiberre ciel classique cœur contemp décerné décor douleur doux Edmond Ernest Raynaud Fernand Figaro fleurs flots fontaine François-Paul ALIBERT GARNIER Gaulois Gautier Georges gloire Goffic goût Guérin haïtienne Henri de Régnier heureux jardin Jean Second jeune joie jour juillet juin l'âme l'amour l'automne l'ombre Lamartine lettres LITTÉRAIRE ET CRITIQUE livre Louis Louis Le Cardonnel lyrique maison Marsyas Maurice Molière Monde nouveau Moréas mort Muse Française Musset noble nuit œuvre parfum Paul paysages pensée Pierre de Nolhac Pierre JALABERT pleurs poèmes poésie poète poétique prose recueil Renaissance rêve Revue contemporaine rime romantique Ronsard rose Rostand rythme semble sentiment septembre sera seul soir soleil sonnets strophes théâtre tragédie Tristan Derème vent Verlaine Versailles Victor Hugo visage voici voix XVIIIe siècle yeux
مقاطع مشهورة
الصفحة 437 - Tout passe. — L'art robuste Seul a l'éternité. Le buste Survit à la cité. Et la médaille austère Que trouve un laboureur Sous terre Révèle un empereur. Les dieux eux-mêmes meurent. Mais les vers souverains Demeurent Plus forts que les airains.
الصفحة 387 - Les feuilles qui gisaient dans le bois solitaire, S'efforçant sous ses pas de s'élever de terre, Couraient dans le jardin; Ainsi, parfois, quand l'âme est triste, nos pensées S'envolent un moment sur leurs ailes blessées, Puis retombent soudain.
الصفحة 213 - Versaille, ô bois, ô portiques, Marbres vivants, berceaux antiques, Par les dieux et les rois Elysée embelli, A ton aspect, dans ma pensée, Comme sur l'herbe aride une fraîche rosée, Coule un peu de calme et d'oubli. Paris me semble un autre empire, Dès que chez toi je vois sourire Mes pénates secrets...
الصفحة 330 - Ah ! fallait-il en croire une amante insensée ? Ne devais-tu pas lire au fond de ma pensée? Et ne voyais-tu pas , dans mes emportements , Que mon cœur démentait ma bouche à tous moments?
الصفحة 122 - Les temps ne sont plus où d'aimables maximes et de riants préceptes suffisaient à l'inspiration du poète; l'imagination des modernes a besoin de pénétrer plus avant dans les mystères de notre propre cœur, et ce que nous demandons avant tout à nos écrivains, c'est de posséder, si je peux m'exprimer ainsi, le génie des émotions.
الصفحة 213 - J'aime ; je vis ! Heureux rivage ! Tu conserves sa noble image, Son nom qu'à tes forêts j'ose apprendre le soir. Quand, l'âme doucement émue. J'y reviens méditer l'instant où je l'ai vue, Et l'instant où je dois la voir.
الصفحة 243 - Peu à peu vont empiétant Les bornes qu'elles ont laissées. Les vagues, d'un cours diligent, A longs plis de verre ou d'argent Se viennent rompre sur la rive Où leur débris fait à tous coups Rejaillir une source vive De perles parmi les cailloux.
الصفحة 89 - C'est elle ! Dieu , que je suis aise ; « Oui , c'est la bonne édition ; « Voilà bien pages neuf et seize « Les deux fautes d'impression « Qui ne sont pas dans la mauvaise.
الصفحة 185 - Un A-Kempis, pour moi c'est un trésor, Que j'ouvre et ferme et que je rouvre encor : Je rôde autour et du doigt je le touche ; Au parapet rien qu'à le voir couché , En plein midi, l'eau me vient à la bouche; Et...
الصفحة 391 - Automne merveilleux, automne qui me dores L'horizon de la vie encore cette fois, Toi qui, si doux, épands les feux de tes aurores Et ceux de tes couchants aux limites des bois, Mélancolique automne avec qui l'on voyage En des mondes de songe et de sérénité Bel automne pour qui sous le dernier feuillage Un oiseau mais tout bas poursuit son chant d'été, Toujours tu m'exaltas, saison harmonieuse. Ta flamme brûle encore en mes hymnes anciens; Tu m'as tout pénétré d'une ardeur sérieuse Dis...