rie, t. 12, p. 515, remarque, Sphaeria uberrima.(Cast. cat. p. 172). Sur des sarments morts de vignes sauvages. S. Pupula. (Friès syct, myc. 2, p. 193). Sur des rameaux secs de Romarin, de Quercus et du Spartium junceum. FAM. III. PYRENOMYCETES. 1. Ordre. Sphaeriacei. Rhizomorpha. (Roth.) R. Sambucci. (Chevall. fl. Par. t. 1, p. 508). Sur les tiges mortes du Sureau, à l'entour de la moelle. Dothidea. (Fries) var. D. Reticulata. var. Eryngii. (Montag. ann. des sc, nat. 2. serie v. 1, p. 345). Sur les feuilles et la tige morte ou mourante de l'Eryngium campestre. D. Himantia. (Friès syst. myc. 2, p. 559). Faeniculi; sur le fenouil. var. Laserpitii ; sur le Laserpitium gallicum. D. Ribesia. (Friès sysl, myc. 2, p. 550). Sur les rameaux secs du Ribes rubrum. D. Sycophila. (DR. et Montag. fl. alg. p. 545). var mori, Montag. unn, des sc. nat. 3, série, t. 12, p. 315. Sur le Morus alba. D. Castagnei. (Montag. in litt.). « Stromate lineari atro epidermide tecto seriem cellula rum unicam fovente, nucleis albis , ascis clavatis erectis » anaparaphy satis, sporidia ovoideo-oblonga infra medium transversim septata includentibus. » « Hub. in caulibus emortuis Equiseti arvensis, hanc » speciem maxime memorabilem invenit cl. Castagne » qui sub 1437. eam mecum communicavit. » « Au premier aspect vous croiriez avoir à faire à une vul» garité, à un de ces pyrénomycetes comme on en voit tant sur les tiges des herbes et même sur celles de la plante en » question, à un Phoma equiseti, par exemple. Il n'en est » rien, si par une préparation qui n'est pas sans difficulté , à o cause de la grande fragilité de sa matrice, qui se brise sous » la moindre pression, vous réussissez à faire une coupe longi» tudinale qui passe par l'axe de la rangée des périthèces ( ou » cellules ) alors, même avec une simple loupe, vous voyez » ceux-ci farcis d'un nucleus blanc, dont la présence les décèle. » Ces périthèces membraneux et minces, il est vrai, mais » pourtant distincts du stroma noir dans lequel ils sont plongés » ou comme enchassés, sont dressés, oblongs au nombre de 8 » à 12, et davantage. Les plus grands ont environ 0, 1, mm. » Ils sont un peu moins épais et pressés l'un contre l'autre ou >> moins espacés. Ils renferment de nombreuses thèques sans » paraphyses. Ces thèques, en massue courte, ont une lon» gueur de 0,04, à 0,06, mm. sur un diamètre qui dans le » milieu dépasse un centième de millimètre. Elles renferment » huit sporidies hyalines comme elles, oblongues, un peu amin» cies pourtant à un bout et divisées en deux loges inégales » par une cloison transversale. Je ne saurais donner une meil» leure idée de cette espèce qu'en la comparantà un Sphaeria » rimosa (Alb. et Sch.) en miniature, c'est-à-dire réduit à » une seule rangée de périthéces. C'est cette ressemblance qui me l'avait d'abord fait placer à côté de cette espèce, sous le » nom de Sphaeria monogramma, mais ayant vu que Fries » dans la Summa vegetabilium scandinaviae rejette dans le » Dothidea le S. rimosa, je suis son exemple et j'adopte pour » nom spécifique celui de l'inventeur d'une si jolie hypoxy » lée. » Montagne. ) D. Rimosa. (Fries Sum, veget. scand. p. 386). Sphaeria rimosa (Alb. et Schw. 13, t. 3, F. 1.) Sur les gaines de l'Arundo phragmites. Nectria. (Fries.) . N. Sinopica. (Fries Sum, veget. scand. p. 338.) Sphaeria sinopica ( Friės el. fug. 2, p. 81.) Sur les tiges sèches du Lierre, rare. N. Rosella. (Fries Sum, veget. scand. p. 358.) Sphaeria , rosella (Alb, et Schw. p. 38, t. 9. f. 3). Sur les bois morts, exposés dans les lieux humides. N. Rousseliana. (Cast. herb.) Sphaeria. (Nectria.) Rousseliana, (Montag. in litt, ad plur.) « Minima, peritheciis gregariis globosis luteo-aurantia» cis demum fulvis, pilis patulis hispidis, globulo sporidio rum roseo coronatis, nucleo gelatinoso, ascis (in specim. » Castagn. obviis) mature deliquescentibus clavatis appen» dice truncato terminatis sporidiis octonis fusi-aut cym biformibus hyalinis utroque fine obtusis continuis, (in spe» cim. Rousselian.) muco religatis. » Hab. haec praeclara species in pagina inferiori foliov rum Buxi circa Melodunum primum a cl, Roussel dein in foliis Rusci aculea:i apud Monlauda cl. Castagne inven» ta fuit. « Cette espèce se distingue par beaucoup de caractères du » Nectria flavida (Corda Ic. fug. IV.) Mais principalement » par ses sporidies. Les thèques n'existent que dans le jeune » åge, représenté par les exemplaires de M. Castagne et pré» sentant la même forme que nous avons décrite dans la flore » d'Algérie comme propre à notre Sphaeria lathyri, (DR. et છે » Montag.), plus tard, elles sont résorbées et les sporidies » mêmes sont maintenues rapprochées dans leur position pre mière par le mucilage du nucleus. » Montagne. Sphæria. ( Aut.) + Eusphæriæ. LIGNOSÆ. S. Stigma. (Hoff., Veg.crypt., t. 2, f. 1). Sur des rameaux secs. CONCRESCENTES. S. Lata. (Pers. syn., p. 29). var. corticalis (Montag.) Sur les rameaux secs et recouverts d'écorce du Crataegus oxyacantha. OBVALLATÆ S. Salicina. (Pers. syn., p. 47). A l'extrémité des rameaux morts de Saule. CIRCINNATA. S. Hypodermia. (Fries, syst. myc., 2, p. 407). Sur des rameaux secs d'Olivier. CESPITOSÆ. S. Acervalis. (Moug. in Fries El. fung., 2, p. 83). S. Ficicola (Cast. cat., p. 176). Sur le bois mort de Figuier. SERIATE. S. Galii. ( Guepin in Fries El. fung., 2, p. 105). S. Aparinæ. (Cast. cat, p. 171). Sur les tiges sèches du Galium Aparina. S. Anethi. (Pers. syn. , 30). Sur les tiges languissantes ou mortes du Fenouil. S. Fæniculacea. (Muntag. ann. des sc. nat., 3° série , t. 11, p. 40). Sur les tiges sèches du Fenouil. S. Godini. (Desmaz. Pl. crypt. de Fr., ed. 1, t. 1139, 2, edit. n. 974. Montag. ann. des sc. nat., 2 série , t. 1, p. 303). S. Arundinis. (Cast. cat., 168). Sur les tiges sèches de l'Arundo phragmites, . CONFERTÆ. S. Graminis. (Pers. obs. 1 , t. 1, f. 1-2). Sur plusieurs gramens. M. le docteur Montagne, Ann. des sc. nat., t. 11 , p. 42, 3 série, rapporte à cette espèce les S. Cynodontis, S. AgrostidisCanina et S. Agrostidis-Stolonifere. ( Cast. cat. , p. 170 et 171). Elles pourront toutefois en être des variétés intéressantes. S. Gangrena. (Fries in Duby Bot. gall. 695). Sur les feuilles vivantes du Poa annua. Cette espèce et la précédente sont placées par M. Friès dans sa Summa vegetabilium Scandinavia, à la suite du genre Dothidia, mais avec doute sur l'identité des caractères et par simple affinité. PERTUSA. S. Posidoniæ. ( DR. et Montag. , fl. alg., p. 502 ). Sur les tiges vives ou mortes du Caulinia oceanica, submergées, trouvée à Marseille par M. Durieu. Cette espèce parasite d'une |